Un jour, Liberoz décide de construire une machine pour partir à la recherche de cet endroit extraordinaire. Il monte à bord d’un ballon qui le fait voyager par-delà les montagnes, au-dessus des mers. Mais l’engin volant commence à s’essouffler et fini par s’échouer.
Liberoz ne renonce jamais. Sa précieuse boîte sous le bras, il embarque dans un petit bateau prêt à traverser les océans du monde entier. Liberoz navigue en capitaine pendant des jours et des semaines.
Liberoz ne renonce jamais. Sa précieuse boîte sous le bras, il embarque dans un petit bateau prêt à traverser les océans du monde entier. Liberoz navigue en capitaine pendant des jours et des semaines.
Un jour de tempête, sa voile gonflée comme un ventre, le vaisseau des mers balance sur les flots et commence à prendre l’eau. Sa boussole s’affole, Liberoz tire la barre vers le haut. Une vague l’emporte sur son dos et s’élève jusqu’au ciel. Liberoz est englouti par le tourbillon bleu avant de tomber dans un profond sommeil.
Le petit navire est maintenant à l’envers ! Avec son hélice brassant l’air, il zigzague entre les nuages. Le voilà au bout de son voyage. « A qui sont ces têtes qui sortent des fenêtres ? » se demande Liberoz à son réveil, sitôt baptisé « l’étranger » par ce monde curieux qui l’entoure. Sa machine volante suit un groupe d’oiseaux et de poissons voguant entre ciel et mer. Comme dans son plus vieux rêve, ses guides l’emmènent au milieu des baleines enchanteresses.
« La baleine géante ne doit pas être loin… » Se dit Liberoz. Aussitôt, il lance une canne à pêche à perte de vue, mais la moulinette ne remonte rien. Pire, elle accroche une montgolfière qui se déchire comme une feuille de papier. Alors, Liberoz s’équipe d’un grand filet qu’il plonge dans l’air salé. Heureusement, des oiseaux défont les mailles pour libérer les poissons attrapés. Liberoz est découragé.
(...)
Très chouette :)
RépondreSupprimerMais il est super ce texte, très dynamique... ^^
RépondreSupprimerBel extrait !
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